Jean ANGIUS, Sophrologue-Magnétiseur,
Magnetiseur de tradition familiale.
Titulaire d'un master en gestion des émotions, du stress et des risques psychosociaux.
Reçoit sur RDV en Seine et Marne
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Né en Tunisie en 1949 de parents italiens émigrés, j’ai été élevé dans un village du nord de ce magnifique pays (Djerissa).
Je revois encore ma tendre mère poser des ventouses, des cataplasmes faits de farine et d’œuf ou de terre avec des herbes diverses ; je me souviens de sa réputation de magnétiseuse qui me poursuivait à l’école, je la revois pratiquer le pendule avec une alliance et un cheveu.
Sous le regard malicieux de mon père, je magnétisais les chats et les chiens j’imitais ainsi les gestes de ma maman.
Qui suis-je ?
Je garde en mémoire ces longues et heureuses soirées passées à écouter les contes de Shéhérazade ou à méditer sous la voûte céleste étoilée, ou encore, à observer la Voie lactée, l’esprit dans un univers féerique et spirituel, l’étrange et l’inconnu chatouillaient nos ämes.
A 16 ans Platon avait structuré ma mémoire, Theetete, Parménide, la République, etc. Ces dialogues tourbillonnaient dans ma tête d'adolescent.
Les lettres de Sénèque à Lucilius, La vie heureuse, l'Homme apaisé du même Sénèque et les Vers d'Or de Hiérocles me désignaient un chemin. Khalil Gibran m'ouvrait les voies de la spiritualité, Moïse Maimonide creusait un sillon où les graines du Zohar seront semées plus tard.

En 1966 je débarquais à Marseille du bateau Le Kairouan. Deux ans après je m’engageais dans l’armée au 1er RPIMa à Bayonne. Heureuse décision, on me transmit un esprit chevaleresque.
C’est ainsi que de 1969 à 1974, j’ai la chance de faire plusieurs séjours en Afrique, Sénégal, Mauritanie, Cameroun, Tchad.
Ce séjour de sept années à l’armée a été plus que fructueux, il fut salutaire et initiatique du fait des contacts avec les déserts de Mauritanie et du Tchad, mais aussi du côtoiement avec les populations autochtones qui étaient en symbiose avec la terre mère et le Cosmos.
Durant cette période, j’avais lu la Bible, Le Coran, la Bhagavad-Gita, Le Matin des Magiciens de Powell et Bergier, la Doctrine Secrète de Blavatsky, Louis Claude de Saint Martin, Pierre Teilhard de Chardin, La vie de Charles de Foucauld, Saint-Exupéry, etc. Bref, mon orientation était toujours d’ordre mystico-phylosophico-religieux, et je magnétisais toujours d’une manière empirique.

Je quitte l’armée en 1974 et commence alors pour moi une période d’étude cosmogonique. Je fais connaissance avec un ordre initiatique, les Rose+Croix. Dans un des degrés de cet ordre (le sixième), une partie non négligeable est consacrée à l’étude du magnétisme, je découvre une autre façon de travailler avec mon magnétisme intrinsèque.
J’obtiens dans les années 80, dans l’ordre des Rose+Croix, un document de thérapeute rosicrucien, mais je pratiquais toujours en dilettante, bien que m’intéressant aux écrits touchant de près ou de loin ce domaine particulier.

La discipline la plus cognitive fut et reste pour moi la méditation.
Un événement formidable, le Colloque de Cordoue, eu l’effet d’une douche, lavant d’un jet toutes les abjections que les chercheurs Humanistes, Spiritualistes et Mystiques subissaient.

Je me souviens avoir passé des nuits entières à écouter France Culture passionnément et manquer une des émissions du Colloque aurait été une catastrophe.
En octobre 1979 s'est tenu à Cordoue un colloque sur le thème "Science et conscience".
Y étaient réunis les chercheurs de grand renom, David Bohm, Fritjof Capra, Olivier Costa de Beauregard, Brian Josephson, Harold Puthoff, Hubert Reeves, Karl Pribram, etc. Environ 60 chercheurs du monde entier qui s'étaient rassemblés là pour s’entretenir de science et de spiritualité durant cinq jours.
Karl Pribram et David Bohm (l’Ordre Impliqué, la Danse de l’Esprit, la Plénitude de l’Univers) ont mené respectivement des recherches sur des axes différents et ont abouti à la même conclusion :
L'univers n'est qu'une extraordinaire image, c'est un hologramme. Les théories de Pribram, comme celles de Bohm, attachent une considération nouvelle sur l’univers.
Nos esprits construiraient une réalité immédiate, nos cerveaux ne seraient que des capteurs d’informations et d’énergies.
Pour les personnes qui connaissent la tradition hindouiste, c’est une confirmation éclatante et irréfutable. Il suffit pour s’en rendre compte de lire la Bhagavad-Gita, Le Sri Caitanya Caritamrta ou le Srimad Bhagavatam pour ne citer que cela.

Dans un des hauts degrés de la Rose+Croix, un des exercices, consiste à condenser l’énergie de l’esprit ou énergie du vide par une focalisation de la pensée et de l’intention.

C’est ainsi que je m’essayais aux premiers gestes de la thérapie énergétique.
Pour ceux qui pratiquent la méditation intensive, il est aisé de comprendre que les connaissances qui émergent durant ces moments privilégiés sont les plus édifiantes.

C’est toujours à la suite d’émergences informatives en état méditatif, que j’effectuais mes essais sur des amis consentants. Et pratiquement toujours avec des résultats étonnants et parfois inattendus.

Progressivement je me suis forgé un outil de travail qui est d’une efficacité remarquable.
C’est avec cet outil que je travaille aujourd’hui et que je transmet dans les ateliers que j’anime.